" La marche des colons doit être considérée dans le contexte d’une dynamique d’escalade propre à Jérusalem, dans laquelle les groupes de colons de droite et l’État israélien ont tenté de réduire progressivement les droits des Palestiniens sur la ville tout en étendant l’empiètement colonial israélien sur les espaces palestiniens. Ce processus d’encerclement n’a pas seulement inclus la prise de contrôle de maisons dans des quartiers comme Sheikh Jarrah ou des restrictions dans des zones comme Silwan, mais il s’est également étendu à la restriction des droits religieux et de culte. Cette situation a entraîné des flambées chroniques et répétées dans la vieille ville et une intensification des tensions locales et régionales.
Au cours des trois premiers mois de cette année, plus d’une douzaine d’attaques de colons ont été enregistrées contre des églises à Jérusalem, tandis que les violations commises par la police à l’encontre des fidèles musulmans et le ciblage systématique des jeunes dans la vieille ville se sont intensifiés par rapport aux années précédentes."
Lire la suite de cet article de la journaliste Mariam Barghouti en date du 22 mai dernier sur le site de l'Agence.
A lire également sur le site de l'Agence, cet article en date du 18 mai dernier de Sabah Jalloul, publié initialement sur le site Assafir Al Arabi:
Ils tuent des enfants qui dorment
|